Pour Jean Marc Comby, la peinture, par sa matière fluide ou épaisse, est une chair. Il travaille sur un motif figuratif. Le dessin est un squelette et l’habille de cette chair picturale. D’un visage, d’un nu, d’une fleur, d’une carcasse ; le principale est la peinture. Pour lui tout peut être peint, ce qui compte c’est l’incarnation de la matière picturale.